| Centre Anti-Huissiers
   Huissiers :    Témoignage de M-F de 
                Bruxelles    Voici le témoignage de 
                M-F de la Région de Bruxelles Capitale,une famille nombreuse aux pires affres avec la "justice"...
 Se faire harceler à ce point là tient de la sorcellerie... 
                !
 
 Merci à M-F pour son accord de publier ces textes sur le 
                Centre Anti-Huissiers.
    09/11/06 : Témoignage de M-F de la Région de Bruxelles 
                Capitale (depuis la feuille de Contact 
                ou commentaire du site)
 Bonjour, j'ai lu cet article sur "l'effet 
                huissier" et je ne peux que dire une chose : c'est le 
                parfait résumé de ce que génèrent 
                les contacts avec ces sortes de personnes. Pour notre part, nous 
                avons aussi eu des démêlés avec ces gens. 
                Et malgré le fait que nous n'ayons rien fait de mal, que 
                notre endettement n'était pas du à une mauvaise 
                gestion de notre part, mais à des frais médicaux 
                et d'avocat, conséquence d'un harcèlement policier 
                qu'on subissait, ils ne sont pas plus corrects pour cela. Ils 
                arrivent chez vous comme en pays conquis, ils refusent de voir 
                les documents et les extraits de compte prouvant que vous avez 
                bien payé la dette en question, ils notent même ce 
                que vous leur démontrez, document à l'appui qu'ils 
                n'ont pas le droit de noter. Ils nous ont jetés à 
                la rue, avec nos 5 enfants alors que nous avions un accord demandé 
                par le Roi avec la société de logements sociaux. 
                La société n'a pas respecté son accord, nous 
                avions un document, l'huissier s'en est fichu complètement. 
                Nous avons tout perdu, tout ce qui formait le quotidien de nos 
                enfants et le nôtre depuis 15 ans.
  Pire encore, le Bourgmestre a fait détruire nos meubles 
                et notre voiture qui se trouvaient au dépôt communal 
                alors qu'ils devaient les conserver 6 mois. Il a essayé 
                une première fois de faire kidnapper nos enfants mais le 
                commissaire s'est interposé, une seconde fois, ils ont 
                réussi en écartant le commissaire mais c'était 
                tellement abject et illégal qu'ils ont été 
                obligé de nous les rendre 19 jours plus tard. L'enfer n'est 
                pas terminé loin de là, cela fait 5 ans que ça 
                s'est produit et seulement un an que nous soyons relogés. 
                Mais il reste de nombreuses conséquences tant des visites 
                d'huissiers que des représailles de l'administration communale 
                qui profite du fait que la justice refuse de les mettre en cause 
                pour raisons politiques.
 L'enfer que vous décrivez, les conséquences sur 
                la famille, sur les enfants, sur la vie, etc. tout cela est tellement 
                réel, je n'aurais jamais su l'exprimer de cette façon, 
                pourtant je suis en train d'écrire un livre sur ce qui 
                nous est arrivé. C'est une horreur qui vous marque à 
                vie, mais surtout, qui marque vos enfants à vivre, car 
                ils ne seront plus jamais comme avant. Ce n'est pas qu'ils deviennent 
                plus intelligents, mais l'adversité les fait mûrir 
                plus vite, ils ne sont plus comme les autres enfants, ne réagissent 
                plus comme des gosses, parviennent même très jeunes 
                à pointer les erreurs ou les contradictions ou les inepties 
                de certains adultes et fatalement sont très mal vus par 
                leurs profs parce qu'ils sont désabusés et ne croient 
                plus en rien et surtout pas en la société idéale 
                qu'on essaie de vendre à leurs camarades de classe.
 M-F.      Ci dessous découvrez un dialogue entre le Centre Anti-Huissiers 
                et M-F par e-mail à la suite de l'article ci-dessus, il 
                y a des familles qui encaissent bien plus que d'autres : CA-H 
                : Libre à vous de me communiquer le nom de votre huissier, 
                aucun lien ne figurera entre votre article, vous, et l'huissier, 
                tout est parfaitement étanche et anonyme."
 M-F 
                : Personnellement je n'ai pas peur de quelconques représailles 
                : dans le cadre de mon affaire, on nous en a tellement fait que 
                nous avons gagné le droit de tout dénoncer, y compris 
                les noms des personnes impliquées, à défaut 
                de parvenir à obtenir justice (hélas).
 
 L'une de ces huissiers, celle que nous voyons le plus souvent 
                se nomme (XXX), c'est elle qui nous a expulsés à 
                la demande de la commune alors que nous avions un compromis avec 
                la société de logements sociaux, à la demande 
                du Roi qui était intervenu auprès du Bourgmestre 
                (vice président de la société) et de la société 
                en soi). Elle sait que la commune nous a complètement détruit 
                car elle en est témoin, elle est aussi témoin du 
                fait que le Bourgmestre soit passé au dessus du commissaire 
                et ait fait enlever notre voiture par la police après le 
                départ du commissaire; mais c'est à chaque fois 
                elle qui revient nous relancer avec la taxe d'immatriculation 
                pour une voiture détruite depuis 5 ans... et à qui 
                nous avons envoyé, ainsi qu'à la DIV et aux taxes 
                le certificat de dépossession involontaire de ce véhicule. 
                Il y a d'autres noms mais je ne les ai pas en tête, je vais 
                regarder dans mes papiers.
 CA-H 
                : "Bravo pour votre livre, c'est très courageux et 
                je sais de quoi je parle !"
 M-F : J'en suis déjà 
                à 867 pages et ce n'est pas fini, mais la seule chose qui 
                me chiffonne c'est le fait que je ne puisse pas mettre les noms 
                réels des protagonistes! Si cela ne tenait qu'à 
                moi je n'hésiterais pas, pour que les citoyens sachent 
                enfin ce que valent certains de leurs élus et autres, mais 
                l'éditeur craint un procès en diffamation.
 CA-H 
                : "Je devrais écrire une encyclopédie avec 
                mes histoires d'huissiers, ce serait trop long. Je vis les huissiers 
                depuis tout petit, mon père avait contracté des 
                dettes, avec ma mère ignorante comme "aval", 
                à l'époque il n'y avait pas de lois comme aujourd'hui, 
                je me souviens que ma chambre avait été saisie et 
                emportée, à plusieurs reprises. Ça laisse 
                des traces...et je suis une thérapie personnelle depuis 
                20 ans pour garder le cap."
 M-F : Personnellement 
                je n'ai pas vécu cela étant enfant, mais je réalise 
                en voyant les dégâts que tout cela a occasionné 
                sur nos enfants, et je m'en veux de n'avoir pas eu le pouvoir 
                de leur éviter tout cela, malheureusement que peuvent de 
                simples citoyens contre des élus, des responsables communaux 
                protégés par la Justice, des huissiers, la police 
                et j'en passe? Mais j'ai l'impression d'avoir failli en tant que 
                mère, de ne pas avoir été capable de protéger 
                mes enfants.
   CA-H 
                : "J'ai eu un échange par mail avec un "candidat" 
                huissier (étudiant) quidénonçait le Centre Anti-Huissiers. Après 
                cet échange il envisageait de ne
 plus suivre sa formation pour devenir huissier... :)"
 
 M-F : En voilà 
                une bonne chose ;-), nous il y a quelques années nous avions 
                discuté avec un huissier de Huy, fils d'un huissier : il 
                était pourtant gentil et normal, mais il nous a expliqué 
                qu'il "n'avait pas pu faire autrement que devenir huissier 
                parce que son père l'était...". J'avoue que 
                je n'arrive pas à comprendre cette vision des choses! Si 
                chacun d'entre nous devait faire le métier de son père... 
                c'est un peu ridicule je trouve!
   CA-H 
                : "Parfaitement en accord avec vous. Ma jeune fille en sait 
                quelque chose. En nous rendant à une séance de thérapie 
                de groupe à propos des deuils (nous en avons beaucoup dans 
                la famille), elle expliquait à 13 ans que dans ses deuils 
                et sa mentalité déjà avertie en matière 
                d'huissiers elle avait perdu toute son enfance...Ce sont ses mots. A 13 ans, voir cela, c'est assez explicite... 
                ;-(
 Ça fait mal d'entendre ce genre de chose de la part de 
                son enfant, et encore plus mal de ces "dégâts 
                collatéraux" réellement néfastes sur 
                les enfants."
 
 M-F : C'est très 
                dur à entendre. Mais c'est pareil chez mes enfants, ils 
                ont le sentiment de ne pas avoir eu d'enfance, d'ailleurs ils 
                sont très différents des enfants "normaux". 
                Mon aîné a 19 ans (1987) et c'est lui qui a le plus 
                compris la situation et qui l'encaisse le plus mal. Il ne dit 
                rien pour ne pas montrer ses souffrances parce que c'est un garçon, 
                il s'efforce de montrer qu'il est fort, mais en réalité 
                il est très malheureux. Pour les plus jeunes, ils n'ont 
                commencé à comprendre que récemment, donc 
                ils en sont encore à la période de l'assimilation, 
                mais s'ils n'ont pas compris tout de suite, ils ont néanmoins 
                encore les scènes en tête et ils sont forts marqués.
   CA-H 
                : "Je ne connais pas l'origine de vos dettes, il y a des 
                différences entre les dettes envers l'Etat (Contributions, 
                TVA, Lois Sociales, Taxes, etc...), et les dettes envers des entreprises 
                (Sociétés S.A., Indépendants, Fournisseurs) 
                et les particuliers."
 M-F : L'origine de 
                nos dettes, vous allez être surpris... Nous étions 
                une famille comme les autres, ni pauvre ni riche, jusqu'à 
                ce qu'une mésentente entre mon père et moi tourne 
                au drame. Je ne me suis jamais entendue avec mon père, 
                mais malgré le fait que je ne le voyais plus, je laissais 
                mes enfants aller en week end et en vacances chez mes parents. 
                Surtout pour ma mère. Jusqu'au jour où mon aîné 
                est revenu à la maison en expliquant qu'il en avait assez 
                que son grand père lui racontait toutes sortes de crasses 
                sur moi. En fait mon père essayait d'aliéner notre 
                fils pour l'amener à demander de pouvoir vivre chez lui. 
                Notre fils ne voulait pas jouer dans ce jeu, tout ce qui l'intéressait 
                c'était de vivre normalement chez ses parents et d'aller 
                chez ses grands parents en aimant tout le monde. Ma mère 
                lui a promis que cela ne se reproduirait plus, qu'elle empêcherait 
                mon père de m'insulter, mais il a chaque fois remis ça, 
                encore et encore, jusqu'au jour où Xavier a décidé 
                de ne plus aller chez les grands parents jusqu'à ce qu'ils 
                comprennent que vraiment il ne voulait plus qu'on insulte sa mère 
                (d'autant plus que moi je n'essayais pas de monter mes enfants 
                contre mon père, je ne voulais pas les mêler à 
                des disputes d'adultes). Mon fils a eu beau faire valoir son opinion 
                lui même, mon père s'est mis à s'imaginer 
                que c'était moi qui lui interdisais de venir et à 
                se monter la tête de plus en plus.
  Mon père a alors contacté un policier qu'il connaissait, 
                pour se venger, et lui a fait croire à la fois que nous 
                négligerions nos enfants et à la fois que j'empêchais 
                mes parents de voir mes enfants. Le policier a conseillé 
                à mon père de demander un "droit aux relations 
                personnelles" au tribunal de la jeunesse, et persuadé 
                que nous négligions les enfants, et que mon père 
                disait la vérité, il a lui négligé 
                de faire une enquête, de nous interroger, d'interroger les 
                enfants, de nous convoquer, de venir chez nous etc. et s'est contenté 
                de "faire un rapport" au sujet d'une situation qu'il 
                ne connaissait pas, pour le tribunal de la jeunesse.  Malheureusement les choses n'ont pas tourné comme le 
                policier le pensait et le Parquet n'a pas accédé 
                à la demande de mon père et n'a pas donné 
                suite au "rapport" du policier. Et d'un autre côté 
                nous nous étions plaints au commissaire principal du service 
                famille jeunesse que ce policier dirigeait. Je précise 
                que ce policier est complètement mégalo, persuadé 
                que la police a tous les droits, que le simple citoyen n'a qu'à 
                se soumettre et ensuite être satisfait si la police cesse 
                de s'intéresser à lui, mais il n'admet en aucun 
                cas qu'un policier doit se montrer correct, poli, respecter sa 
                déontologie, les procédures et les lois... De plus, 
                il haïssait le commissaire principal et estimait qu'il était 
                plus apte à exercer cette fonction. Bref, c'en était 
                devenu une affaire personnelle entre lui qui nous en voulait à 
                mort d'avoir mis son travail en cause et d'avoir fait en sorte 
                que le commissaire principal "fourre son nez" dans ses 
                dossiers, nous qui nous sentions salis et humiliés et le 
                commissaire principal qui essayait de comprendre ce qui se passait 
                et qui disait la vérité. Le policier "harceleur" 
                voulait prouver à son chef que c'était lui qui disait 
                la vérité et donc n'a cessé de nous harceler, 
                contactant les écoles de nos enfants, nos voisins, les 
                gens du quartier, la famille etc. et leur faisant croire que nous 
                étions "les nouveaux Dutroux" (mots retrouvés 
                dans la bouche de toutes les personnes ayant étés 
                interrogées par lui et ses hommes lorsque ces personnes 
                ont vu les documents démontrant que nous n'avions rien 
                à nous reprocher vis à vis de la justice). Ce policier agissait ainsi en espérant récolter 
                des éléments contre nous. Il n'a pas réussi. 
                Mais un jour, il a fait pareil avec une nouvelle voisine qui venait 
                de s'installer à côté de chez nous et qui 
                avait des problèmes psychologiques (elle l'avouera plus 
                tard, trop tard). Il a fait son cinéma "la police 
                enquête sur les nouveaux Dutroux" avec cette dame, 
                et le problème est que cette dame y a cru... nous étions 
                en plein dans l'affaire Dutroux, elle était perturbée 
                par de lourds problèmes familiaux et elle a fini par se 
                faire un film (comme dirait ma fille) dans lequel nous étions 
                des bourreaux d'enfants... Elle a cru les sous entendus de la 
                police, a "amélioré" la version et s'est 
                mise à raconter dans l'immeuble, dans le quartier, auprès 
                des concierges et des assistantes sociales de l'Habitation Moderne 
                (société de logements sociaux propriétaire 
                de notre ancien logement) que nos enfants se faisaient violer, 
                maltraiter, enfermer dans un placard avec un chien, etc... Les 
                assistantes sociales de la société ont averti leur 
                hiérarchie et les AS de la commune. Celles ci ont averti 
                également leur hiérarchie mais aussi la police, 
                le service du fameux policier "harceleur"...
 Le policier "harceleur" savait que c'était faux, 
                que cette dame lançait des élucubrations suite à 
                ses sous entendus à lui, mais le problème était 
                que l'affaire avait été trop loin : la hiérarchie 
                de l'AS de la commune c'était l'échevine de l'action 
                sociale et le Bourgmestre qu'elle avait averti et la hiérarchie 
                de l'AS de la société c'était le directeur 
                gérant et le conseil d'administration dont l'administrateur 
                délégué était la même échevine 
                de l'action sociale et le même Bourgmestre qui en était 
                le vice président. Et qui était aussi le chef de 
                la police...
 
 Le policier harceleur n'a donc pas pu faire autrement pour rester 
                crédible, que d'organiser notre arrestation, en prenant 
                congé ce jour là pour essayer de ne pas être 
                mis en cause et en convainquant le commissaire principal qu'il 
                fallait faire intervenir la brigade judiciaire.
 
 Toute la hiérarchie communale et de l'Habitation Moderne 
                ainsi que nos voisins et les gens du quartier étaient au 
                courant que la police allait venir nous arrêter ce jour 
                là.
 
 Mais encore une fois, les choses ne se sont pas déroulées 
                comme la police l'imaginait.
 
 Les policiers de la brigade judiciaire, trompés par la 
                voisine et par le policier harceleur, pensaient vraiment avoir 
                affaire à des bourreaux d'enfants, donc malgré le 
                refus du Parquet, ils se sont passés de mandat et sont 
                venus, persuadés qu'ils allaient trouver des enfants maltraités 
                voir pire. Ils m'ont cassé le cou, le bras, fait une entorse, 
                démi l'autre pouce et ils nous ont arrêté 
                sans mandat, sans raison... et n'ont trouvé dans l'appartement 
                aucun enfant maltraité bien au contraire...
 A ce moment là, nous avions à nouveau d'un côté 
                le commissaire principal qui essayait de comprendre et de démêler 
                et d'un autre le policier harceleur qui incitait une petite bande 
                de policiers de ses amis à nous harceler de plus en plus 
                dans l'espoir de paraître eux crédibles vis à 
                vis du commissaire.
 
 Les choses ont étés très loin, ils ont même 
                essayé de s'en prendre à notre fils aîné, 
                le harceleur est même venu hors service avec des collègues 
                en service pour nous menacer de nous faire prendre les enfants, 
                de faire envoyer mon mari en prison, de me faire interner (menaces 
                de la part du Bourgmestre) si nous refusions de retirer nos plaintes 
                et de cesser de mettre la police en cause. Encore une fois la 
                justice n'a pas suivi le harceleur, et en guise de représailles 
                nous nous sommes retrouvés expulsés.
 
 La raison de notre expulsion est celle ci : ayant été 
                gravement blessée par la police, j'ai du être hospitalisée 
                et soignée (un minimum pour être remise sur pieds). 
                Un de nos enfants a également du être hospitalisé 
                car en réaction de la violence de la police, il a fait 
                une crise d'épilepsie. Cela nous coûtait très 
                cher en frais médicaux. C'est pour cela que j'ai fini par 
                arrêter de me soigner parce que nous ne vivions plus qu'avec 
                l'équivalent de 15000 FB par mois pour 7. Cela a duré 
                9 mois.
 L'autre cause était le fait qu'après les menaces 
                du policier harceleur "de la part du Bourgmestre" on 
                nous avait conseillé de prendre ces menaces au sérieux 
                et de prendre un avocat. Nous avons pris un avocat payant (les 
                pro deo ne veulent pas de notre affaire) et c'est l'autre raison 
                du fait qu'il ne nous restait plus que 15000 FB pour vivre, pendant 
                9 mois.
 La cause de cet endettement est dans les deux cas la police, dont 
                le chef était le Bourgmestre puisque c'était pour 
                me soigner des blessures infligées par la police et pour 
                protéger notre fils contre le harcèlement de ce 
                policier et du Bourgmestre que nous nous étions endettés.
 
 Donc pendant 9 mois nous n'avons pas su payer notre loyer (de 
                notre logement social) et le conseil d'adminitration (dont le 
                vice président est le Bourgmestre) nous a attaqué 
                en justice de paix pour obtenir notre expulsion.
 Le juge de paix n'a pas voulu lire nos conclusions ni nous entendre 
                lorsque nous essayions d'expliquer ce qui nous était arrivé 
                et le fait que sans la police, rien ne serait arrivé, nous 
                serions toujours des citoyens normaux. Il a prononcé un 
                jugement d'expulsion. Nous avons écrit au Roi, il a écrit 
                à deux reprises au Bourgmestre pour que nous ne soyons 
                pas expulsés, finalement l'Habitation Moderne a fini par 
                accepter que nous restions dans notre logement si nous remboursions 
                notre dette... ce que nous faisions déjà. Nous avions 
                rétabli seuls et sans aide nos finances. Mais malgré 
                cela, l'HM est passé au dessus de l'accord et nous a quand 
                même expulsés, à l'insu du véritable 
                président qui lui ignorait que nous payions notre dette 
                et notre loyer et à qui on avait fait croire que non seulement 
                nous ne payions pas notre loyer mais nous ne remboursions pas 
                nos dettes... dettes dont le Bourgmestre qui nous jettait à 
                la rue était plus que responsable.
 
 Maintenant le président a dit qu'il ne nous réclamerait 
                pas la dette et effectivement il ne l'a jamais réclamée 
                jusqu'à présent, cela fait 5 ans.
 
 CA-H : "Pourquoi 
                "détruire" vos affaires ??? Quel est le but et 
                quelle est la Loi
 qui va dans ce sens ?"
 
 M-F : Il n'y a aucune 
                loi, le Bourgmestre (XXX) est totalement au dessus de toutes les 
                lois. En fait, trois mois après notre expulsion, l'administrateur 
                délégué de l'Habitation Moderne et la présidente 
                du CPAS nous avaient promis que si nous retirions notre plainte 
                contre le Bourgmestre, nous pourrions réintégrer 
                un logement social de la société. Nous avions même 
                l'adresse et confirmation par un ami qui travaille dans la société 
                : c'était officiel et tout le monde y croyait. Donc, comme 
                des C... nous avons retiré notre plainte et à ce 
                moment là, le Bourgmestre a fait annuler le logement. Et 
                en même temps il nous a fait radier de la commune en prévenant 
                immédiatement le chômage et les allocations familiales 
                afin que nous perdions toute source de revenus. Et en même 
                temps il faisait détruire nos meubles, vêtements, 
                notre voiture et son contenu et même tuer notre chien.
 CA-H : "Si on 
                vous saisi, c'est pour revendre, non ?"
 
 M-F : Pas dans ce 
                cas là, ce n'était pas une saisie, au moment de 
                notre expulsion nos meubles, etc ont étés mis dans 
                un container au dépôt communal, ainsi que la voiture 
                (au même titre que les meubles puisque le commissaire ne 
                voulait pas marcher dans la combine du Bourgmestre et faire un 
                faux PV). La commune devait tout garder 6 mois, c'est la loi, 
                c'était stipulé avec la référence 
                sur la lettre de l'huissier. Mais au moment où nous avons 
                retiré notre plainte, le Bourgmestre a cru qu'il allait 
                se débarrasser de nous en nous radiant de la commune et 
                qu'il allait nous décourager et donc il a détruit 
                notre voiture, notre chien, nos meubles et tout ce qui faisait 
                notre vie et nos souvenirs depuis 15 ans et même plus parce 
                qu'il y avait là dedans des souvenirs d'enfance, de personnes 
                décédées, des photos de nos enfants, de mes 
                grands parents etc qui avaient une grande valeur sentimentale, 
                mais aussi 17 manuscrits que j'avais écrits. Bref c'était 
                de la méchanceté pure et simple.
 CA-H : "Pourquoi 
                ne déposez vous pas une plainte pour harcèlement 
                avéré contre l'huissier ?"
 
 M-F : Parce que l'histoire 
                est politique et qu'aucune de nos plaintes n'est prise en considération, 
                même le centre d'aide aux victimes qui avait établi 
                un dossier scindé par période et par responsabilités, 
                s'est finalement fait bloquer.
 
 
 CA-H : "Vous 
                pouvez déposer plainte soit directement à la police, 
                ou via avocat."
 
 M-F : La police, 
                c'est inutile et un avocat... la dernière fois que nous 
                avons étés au BAJ (pro deo) la responsable nous 
                a dit que notre cause était une cause perdue, elle a téléphoné 
                devant nous à nos adversaires communaux et leur a promis 
                que nous n'aurions pas d'avocat et que nous n'introduirions aucun 
                recours contre eux.
 
 
 CA-H : "Vous 
                pouvez (devez !!!) par ailleurs dénoncer cette attitude 
                à la "Chambre nationale des Huissiers de Justice", 
                ici :
 
 Leur site Web : http://www.gerechtsdeurwaarders.be/Index_fr.htm
 
 Leur boîte mail : Chambre.Nationale@huissiersdejustice.be"
 M-F 
                : Ca c'est une chose que je n'ai pas encore faite parce que je 
                ne connaissais pas la chambre nationale des huissiers de justice, 
                mais je vais leur écrire pour leur expliquer.
 
 CA-H 
                : "Pour info, il y a des prescriptions dans le temps pour 
                certaines dettes :"
 M-F : Pour la dette 
                de l'HM on ne nous la réclame plus, maintenant on nous 
                réclame surtout des choses que nous ne devons pas, la taxe 
                d'immatriculation de notre voiture détruite il y a 5 ans, 
                notamment et cela malgré le fait que nous ayons envoyé 
                par recommandé à l'huissier, aux taxes et à 
                la DIV le certificat de dépossession involontaire de notre 
                véhicule.
 
 Electrabel aussi, ou plutôt Sibelga dont le président 
                est le même Bourgmestre, et qui nous a mis injustement à 
                6 ampères après avoir détourné notre 
                argent vers le compte de notre ancien appartement (fermé) 
                et malgré les extraits de compte que nous leur présentons.
 CA-H : "Il y 
                a aussi des règlements sur ce qui peut être saisi 
                ou pas, et les "manières" de procéder, 
                les sociétés de recouvrement n'ont pas de droit 
                juridique et ne peuvent attaquer juridiquement malgré ce 
                qu'ils laissent paraître, ainsi que faire la part des choses 
                pour le serrurier s'il n'a pas de vraie raison d'être là, 
                etc... :
 
 http://www.dignitas.be/fr/le_recouvrement_de_creances.php"
 
 M-F : Oui pour les 
                sociétés de recouvrement je le savais et pour ce 
                qui peut être saisi j'ai la liste mais l'huissier s'en fiche 
                éperdûment il note à chaque fois des choses 
                qu'il n'a absolument pas le droit de saisir et refuse même 
                de regarder les preuves de paiement.
 
 
 CA-H 
                : Article à propos des serruriers sur le site du Grepa 
                :
 http://www.grepa.be/gen_contentDetail.cfm?newID=571&zeMnpID=87
 
 Cliquez sur la fenêtre "Assistance aux personnes 
                surendettées". Puis cliquez sur "Lorsqu'il est 
                trop tard " dans la fenêtre des rubriques à 
                gauche. Et voyez dans le chapitre "L'exécution du 
                jugement" du site.
 
 "Les frais de serrurier dans le cadre d'une saisie
 
 09/08/2005
 
 Les frais de serrurier ne sont dus que si l'intervention du serrurier 
                était nécessaire et que le serrurier a été 
                appelé en cette qualité.
 Il appartient à l'huissier de démontrer que les 
                circonstances :
 
 * justifient la présence du serrurier,
 
 * mais également que le coût de son intervention 
                peut légitimement être
 mis à charge de la partie poursuivie."
 
 M-F : L'huissier 
                vient chaque fois avec la police et un serrurier et facture à 
                chaque fois des frais.
 
 
 CA-H 
                : suite de l'article à propos des serruriers sur le site 
                du Grepa : "L'huissier doit relater les circonstances exceptionnelles 
                dans le procès-verbal de saisie qu'il dresse.Exemples de circonstances exceptionnelles qui pourraient justifier 
                que des frais soient dus :
 
 * La personne est présente à son domicile, refuse 
                l'ouverture des portes,
 mais finalement ouvre lorsque le serrurier entame son intervention.
 
 * Le serrurier entame son intervention alors que la personne est 
                absente
 de son domicile, mais avant qu'il ait oeuvré pour l'ouverture 
                de la porte,
 la personne revient à son domicile ;
 
 * Les circonstances démontrent que plusieurs tentatives 
                infructueuses ont
 été faites et pour permettre, notamment, l'intervention 
                de la police,
 l'huissier qui a tout lieu de croire qu'il va rencontrer la même 
                situation
 requiert dès le début la présence d'un serrurier."
 M-F : Jamais aucun 
                huissier n'a indiqué ce genre de chose dans un PV, il n'y 
                a jamais de PV, il arrive dès la première fois avec 
                la police et le serrurier, il facture le tout et n'établit 
                ni constat ni PV.
 
 
 CA-H 
                : "On peut craindre que, tant que vous ne faites pas de démarches 
                contre l'huissier, celui-ci ne va pas vous laisser tranquille. 
                Ils sont sûrs de leurs droits jusqu'au jour où on 
                ose se battre contre eux, là ils commencent à paniquer 
                car il y a des sanctions juridiques (parfois lourdes si cumul 
                de dénonciations) contre eux en cas de débordement, 
                ce qui est très clairement le cas de sa part envers vous. M-F 
                : "Pourtant malgré nos explications jamais le tribunal 
                des saisies n'a donné tort à l'huissier.
 
 CA-H 
                : "Si ça se trouve, votre plainte contre lui sera 
                peut-être "la goutte en trop" qui le fera sauter 
                de sa profession... M-F 
                : "J'aimerais, malheureusement comme notre affaire est politisée, 
                la Justice ne se préoccupe pas de nous et ne traite aucune 
                de nos plaintes parce que justement nos plaintes se ramifient 
                toutes à la cause principale : le Bourgmestre qui est surprotégé.
 
 CA-H 
                : Lisez aussi sur le même site du Grepa, dans la même 
                rubrique :
 http://www.grepa.be/gen_contentDetail.cfm?newID=569&zeMnpID=87
 
 Cliquez sur la fenêtre "Assistance aux personnes surendettées". 
                Puis cliquez sur "Lorsqu'il est trop tard " dans la 
                fenêtre des rubriques à gauche. Et voyez dans le 
                chapitre "L'exécution du jugement" du site.
 
 Les tarifs des actes d'huissiers : L'Arrêté royal 
                du 30 novembre 1976 (Mon. belge, 08 février 1977)
 
 09/08/2005
 
 (lire l'article sur le site, trop long pour copier-coller dans 
                ce mail)
 
 M-F : "Je vais 
                aller voir ça après avoir répondu au mail.
 
 
 CA-H 
                : "En ce qui concerne les Bourgmestres, je pensais vous conseiller 
                de vous adresser à leur maison mère, mais j'apprends 
                à l'instant qu'il n'y a pas de "maison mère", 
                semble-t-il. Je l'ignorais. M-F 
                : "J'ai absolument tout essayé contre le Bourgmestre 
                : toute la hiérarchie judiciaire et administrative, la 
                gouverneur, le ministre de l'intérieur, le SPF intérieur, 
                la région bruxelloise, etc. rien à faire... la réponse 
                est la même partout : "Après enquête (traduisez 
                : après avoir interrogé la personne incriminée 
                qui bien entendu a nié) il apparait que vos accusations 
                sont infondées donc je cloture le dossier" et après 
                plus moyen d'en tirer autre chose...
 
 CA-H 
                : "Si la ou les fautes du Bourgmestre sont incontestables 
                avec preuves à l'appui, il vous est alors loisible d'en 
                référer au Ministre Verhofstad. Une plainte peut 
                néanmoins aussi être déposée à 
                la police ou via avocat envers le Bourgmestre si nécessaire.
 M-F : "Nous 
                avons étés reçus par un collaborateur de 
                Mr Verhofstadt il y a près de deux ans. Nous lui avons 
                expliqué notre histoire, il a pris des notes, nos coordonnées 
                et a promis de nous recontacter car il allait effectuer une enquête, 
                nous interroger, interroger les personnes que nous citions, etc... 
                Aujourd'hui après des dizaines de rappels nous n'avons 
                toujours obtenu aucune réponse.
 CA-H : "Enfin, 
                si cela va trop loin, vous pouvez également informer la 
                presse. Mais je suppose que votre livre en parlera, bien qu'un 
                article de presse ou une bonne émission sont parfois plus 
                efficaces, cela dépend des cas bien sûr.
 M-F 
                : "La presse cela a déjà été 
                fait et effectivement les trois articles de presse parus et leurs 
                commentaires sont dans mon manuscrit. Mais à l'heure actuelle, 
                la presse ne fera plus rien pour nous, elle a agi 3 fois, mais 
                la presse est tenue par le ministre de l'intérieur, c'est 
                lui qui délivre les cartes de presse et c'est aussi lui 
                qui dirige la police... CA-H : "Au cas 
                où vous auriez besoin d'un "lecteur" pour votre 
                livre, ou encore d'une critique constructive, je me fais un plaisir 
                de m'inscrire comme candidat de lecture pour vous donner un avis. 
                Et en toute confiance, cela va de soi. Je suis artiste et connais 
                trop bien "le prix" d'une oeuvre... :)
 M-F 
                : "Excellente idée, j'ai bientôt terminé 
                le manuscrit, je peux vous l'envoyer en espérant qu'il 
                passe dans un mail parce qu'il contient déjà plus 
                de 800 pages et je ne suis qu'en 2005!
 
 CA-H 
                : "Excellente fin de week-end et semaine, gardez courage 
                dans votre combat, il est de toute façon inégal, 
                l'Etat le sait bien et ne semble pas souhaiter une amélioration 
                du système. A nous de le faire... :)" M-F : Oh oui mon 
                combat est inégal, mais lacher maintenant ne servirait 
                plus à rien, tout a été trop loin, depuis 
                trop longtemps... depuis le moment où je n'ai pas compris 
                qu'utiliser un recours légal ( le COmité P) allait 
                tuer ma famille!
 
 CA-H 
                : "Et c'est bien cela le plus dur : ce sont des gens comme 
                nous, dans la difficulté et le besoin, dans la souffrance 
                d'avoir tout perdu, tant en matériel qu'en identité, 
                et nous devons encore tenter de "ramener" quelque chose 
                de notre sale trip dans l'espoir de faire avancer les Lois, en 
                espérant qu'un jour tout cela n'arrive plus pour nos propres 
                enfants et lesgénérations futures."
 
 M-F : Si seulement 
                je pouvais faire quoi que ce soit pour changer tout cela, c'est 
                mon rêve le plus cher.
 
 
 CA-H 
                : "Là, les pionniers, c'est nous, il n'y a rien d'autre 
                derrière, sans filet de sécurité on doit 
                avancer à nos risques et périls. Mais on y croit 
                ! ;o) M-F : "Oui 
                on y croit, on doit y croire pour ne pas se suicider, on doit 
                croire que quelque chose est encore possible. CA-H : "Je poste, 
                et d'autres membres aussi, des mails relatifs aux dettes sur mon 
                groupe Yahoo, des courriers adressés aux huissiers, nous 
                en discutons et faisons des débats autant que possible. 
                Si vous souhaitez vous y joindre, soyez la bienvenue. C'est ici 
                :
 
 Groupe de discussion sur Yahoo, "AIE", pour les "Anciens 
                Indépendants
 Endettés", mais pas nécessaire d'être 
                ou d'avoir été indépendant, of course."
 
 http://fr.groups.yahoo.com/group/AIE/
 M-F 
                : Je vais venir faire un tour.
 
 CA-H 
                : "Bien à vous, au plaisir de vous lire... :)--
 Philippe."
 M-F 
                : Pareillement, à bientôt et au plaisir de vous lire!
 
 CA-H 
                : "PS : Ça fait du bien quelqu'un qui écrit 
                sans faute, confortable et fluide, merci ! :)" M-F 
                : Merci, ça me fait plaisir.   Note du CA-H 
                : Certains noms dans ces textes ont été volontairement 
                cachés dans le seul souci de ne pas fragiliser le Centre 
                Anti-Huissiers qui risquerait des plaintes en diffamation, selon 
                les Lois en vigueur. Ces textes sont déposés sur 
                le site avec l'accord de l'auteure, M-F, que je remercie et encourage 
                de tout coeur. Pour celles et ceux qui souhaitent contacter M-F, 
                merci de me contacter, 
                je transmettrai. Il se peut que certains d'entre vous pourraient 
                peut-être aider M-F et sa famille, merci d'avance pour eux 
                ! :)      Mieux adaptés aux questions relatives aux huissiers, nos groupes de discussion du Centre Anti-Huissiers sur YahooGroupes 
              et sur Facebook sont désormais à votre disposition . Ils sont gratuits et libres d'accès, ils répondent "directement" à vos 
                questions, comme des forums. Vous souhaitez 
                connaître des précisions pour votre affaire en cours, 
                des Lois ou articles peuvent vous y aider ainsi que notre expérience. 
                Ces Groupes de discussion sont pourvus d'équipes bien informées 
                et de juristes professionnels pour répondre à vos questions et inquiétudes :) Merci à toute l'équipe d'intervenants pour sa précieuse collaboration 
              ! :) Sur YahooGroupes : http://fr.groups.yahoo.com/group/Centre_Anti_Huissiers/ Sur Facebook : https://www.facebook.com/groups/Centre.Anti.Huissiers/ Attention : Plus de courriel en 
                privé pour le Centre Anti-Huissiers ! A partir de juillet 2007 il n'est plus possible que je réponde 
                aux mails concernant le Centre Anti-Huissiers reçus en 
                privé car ils sont trop nombreux, je devrais y passer un 
                plein temps ! Aussi, pour toute question relative aux dettes et 
                huissiers, merci de vous inscrire directement sur nos groupes  qui sont totalement 
                gratuits. De plus, nos réponses sur les groupes peuvent aider 
                d'autres personnes dans des cas similaires, ce qui facilite le 
                travail. La gratuité vaut cette inscription, au moins pour 
                la communauté, merci de votre compréhension... ;-) Si vous avez des suggestions, idées, envie de participer, 
                parlons-en, cliquez sur le lien ci-dessous :
 Contact ou commentaire.
   Vous pouvez également vous inscrire gratuitement 
                sur le groupe Yahoo "AIE" 
                (Anciens Indépendants Endettés) pour débattre 
                des questions sur l'endettement ou le surendettement, particuliers, 
                indépendants, faillis, tout le monde est bienvenu.   Ouvrir les autres pages du Centre 
                Anti-Huissiers :   Dernières mises à jour   2009     2008    
 2007      2006         Seuls les auteurs sont responsables du contenu du 
                texte des témoignages sur cette page, ni le Centre Anti-Huissiers 
                ni le Webmaster ne pourraient êtres tenus pour responsables. 
               (Dernière mise à jour : 
                02-Nov-2013  17:07
                )  Haut 
                de pageRetour au 
                Centre Anti-Huissiers
 Fermer la fenêtre
   |